Au sortir de l'hiver pourquoi ne pas profiter de l'arrivée des beaux jours pour changer ses habitudes alimentaires et opter pour un comportement plus sain et générateur de bonne santé ? Le principe que nos gènes ne sont pas adaptés à la nourriture agro-industrielle mais à une alimentation non transformée telle que nos ancêtres du paléolithique la consommait il y a 10 000 ans semble maintenant acquise. Nous mesurons alors l'impact de l'alimentation sur nos organismes et ses conséquences physiologiques : allergies digestives notamment au gluten, diabète, obésité, syndromes chroniques de fatigue et de dépression, etc...

Le constat est simple et sans appel : davantage de glucides, plus de chimie dans nos assiettes, moins de dépense calorique et plus de sédentarité. Loin de flatter nos sens par des goûts dénaturés, ces habitudes nous éloignent du mieux être et d'une bonne santé.
Il serait intéressant de s'inspirer de ce mode alimentaire ancestral dit paléolithique pour en extraire quelques règles :
moins de glucides
plus de protéines associées à plus de légumes
autant de graisses, plus riches en oméga 3 avec un meilleur rapport oméga 3 et 6
limiter les céréales (sauf riz et sarrasin) et les produits laitiers
pas d'aliments transformés
consommer des fruits de saison
pratiquer avec régularité l'exercice physique
En consommant ce qui correspond aux fonctions originelles de l'organisme, tant par l'alimentation que par l'activité physique, la perte de poids est effective mais la prévention d'un certain nombre de maladies devient possible. Je vous renvoie pour cela à l'excellent ouvrage du Docteur Jean Seignalet, enseignant à l'Université de médecine de Montpellier : "L'alimentation ou la troisième médecine"
à bientôt, sportivement
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